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Au revoir, Sénégal (Part 1 of 2)

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In the book of Ecclesiastes, King Solomon’s poetic words remind us that “there is a time for everything, a season for every activity under heaven.” This can help us gain perspective. It can leave us with hope. At the moment, it mostly offers me permission to sit. Leaving is OK. 

This past week we were granted time to pause, grieve, and remember our time and season in Senegal. (I’m sure more will come with time.) We knew this move to the United States was coming. After years of saying goodbye to friends, we are the ones packing up this time. 

With a smile, I will continue to tell people Dakar is like living in a “sandbox”. I can’t admit to it being the most beautiful place on earth, but the people and culture will quickly make you at home. That’s the Teranga spirit. 

Solomon continues his invitation to cry, laugh, grieve, and dance. Senegal has brought us all of this. We are grateful for each refining low as well as each perfect friendship. We celebrate the struggles which made us grow as well as each blessing that humbled us. We give great thanks to God who chose a setting like Senegal to let us meet Him and to meet each other. 

At this point, I don’t even know if I/we have the words to list every moment and name we were forever changed by. If you know who you are, you know who you are. 

Senegal, thank you dearly for being the setting of this part of our story. We will not forget you nor will we regret what the Lord has done. For now, we say goodbye. We cannot stay to see what more you can do within the beautiful lives we’ve met. Just know we leave changed. Stronger, a bit wiser, and more in love.

Dans le livre de l’Ecclésiaste, les paroles poétiques du roi Salomon nous rappellent qu’« il y a un temps pour tout, un temps pour toute activité sous le ciel ». Cela peut nous aider à prendre du recul. Cela peut nous laisser de l’espoir. Pour le moment, il me propose surtout la permission de m’asseoir. Partir, c’est bien.

La semaine dernière, nous avons eu le temps de faire une pause, de faire notre deuil et de nous souvenir de notre séjour et de notre saison au Sénégal. (Je suis sûr que d’autres viendront avec le temps.) Nous savions que ce déménagement vers les États-Unis allait arriver. Après des années passées à dire au revoir à des amis, c’est nous qui faisons nos bagages cette fois-ci.

Avec le sourire, je continuerai à dire aux gens que Dakar, c’est comme vivre dans un « bac à sable ». Je ne peux pas admettre que c’est le plus bel endroit du monde, mais les gens et la culture vous feront rapidement chez vous. C’est l’esprit Teranga.

Salomon continue son invitation à pleurer, rire, pleurer et danser. Le Sénégal nous a apporté tout cela. Nous sommes reconnaissants pour chaque raffinement ainsi que pour chaque amitié parfaite. Nous célébrons les luttes qui nous ont fait grandir ainsi que chaque bénédiction qui nous a humiliés. Nous rendons un grand merci à Dieu qui a choisi un cadre comme le Sénégal pour nous permettre de le rencontrer et nous a amenés à nous rencontrer.

À ce stade, je ne sais même pas si j’ai/nous avons les mots pour énumérer chaque instant et chaque nom par lequel nous avons été modifiés à jamais. Si vous savez qui vous êtes, vous savez qui vous êtes.

Sénégal, merci beaucoup d’être le cadre de cette partie de notre histoire. Nous ne vous oublierons pas et nous ne regretterons pas ce que le Seigneur a fait. Pour l’instant, nous disons au revoir. Nous ne pouvons pas rester pour voir ce que vous pouvez faire de plus dans les belles vies que nous avons rencontrées. Sachez simplement que nous repartons changés. Plus fort, un peu plus sage et plus amoureux.